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Dans la perspective du Sommet du G7 qui se déroulera à Biarritz du 24 au 26 août, Syntec Numérique, Tech in France et l’AFNUM, réunies au sein de DIGITALEUROPE, invitent les leaders politiques à se concentrer sur deux défis majeurs de la transformation numérique.
Pour relever ces challenges, les organisations rappellent ainsi leur série de recommandations formulées le 28 juin dernier à l’occasion du Sommet d’Osaka.
Dans la perspective du Sommet du G7 qui se déroulera à Biarritz du 24 au 26 août, Syntec Numérique, Tech in France et l’AFNUM, réunies au sein de DIGITALEUROPE, invitent les leaders politiques à se concentrer sur deux défis majeurs de la transformation numérique : garantir des rapports de confiance dans les flux de données d’un Etat à un autre et assurer un développement éthique et responsable de l’intelligence artificielle. Pour relever ces challenges, les organisations rappellent ainsi leur série de recommandations formulées le 28 juin dernier à l’occasion du Sommet d’Osaka.
Une libre circulation des données fondée sur la confiance (« Data Free Flow with Trust »)
A l’instar du premier ministre japonais à Davos en janvier dernier, l’industrie numérique mondiale préconise aux Etats la mise en place d’un système de « Data Free Flow with Trust » (DFFT), c’est-à-dire d’un système de circulation des données basé sur la confiance et la collaboration, facteurs clés d’une croissance mondiale pérenne.
A cet effet, cinq recommandations ont été formulées par les organisations du secteur :
L’intelligence artificielle pour tous
Grâce à la circulation des données, en toute confiance, des technologies de pointe telles que l’internet des objets, l’intelligence artificielle, la robotique, la blockchain, etc. transforment nos économies et nos sociétés sous tous leurs aspects : santé, agriculture, mobilité, énergie, environnement, industrie, éducation, etc.
Le principal défi qui se pose aujourd’hui aux gouvernements est de mettre en œuvre des solutions innovantes afin que cette révolution en marche bénéficie à tous. A cet effet, l’OCDE, l’Union européenne, les gouvernements français, canadien, japonais et beaucoup d’autres n’ont négligé aucun effort en vue de s’accorder sur des lignes de conduite éthiques et des principes visant à mettre l’IA au service de l’Homme.
Dans cet esprit, la Commission européenne a par exemple développé un processus « agile » d’expérimentations de type « bac à sable » : la grille d’évaluation aussi complète que détaillée qu’elle a publiée permet à toute entreprise qui le souhaite de mettre les principes éthiques pour l’IA à l’épreuve des réalités micro-économiques au cours de cette phase d’évaluation.
A cet égard, le Groupe d’experts international pour l’Intelligence Artificielle (G2IA) créé l’an dernier par le Canada et la France en vue de « soutenir et orienter un développement responsable de l’IA » pourrait fournir un cadre propice à l’encouragement d’une coopération mondiale dans l’innovation, la recherche et l’investissement.
Les organisations appellent en outre les gouvernements à faire porter leurs efforts sur la formation, y compris en reconversion, ainsi que sur le soutien à un développement éthique et responsable de l’IA. Ses applications, dans des domaines comme la consommation d’énergie, le changement climatique ou la santé, contribueront à améliorer la qualité de vie de chacun.
Pour cela, les acteurs du secteur ont formulé quatre recommandations :
Une libre circulation des données fondée sur la confiance (« Data Free Flow with Trust »)
L’intelligence artificielle pour tous
« Une politique de la donnée ambitieuse, favorisant la confiance et permettant l’accès, le partage et la circulation d’une plus grande masse de données, est la première clé pour que l’intelligence artificielle soit à la portée de tous. Cela permettra le développement d’applications dans tous les secteurs : du développement durable, de la santé, de la mobilité, etc., avec des gains formidables pour notre croissance. Mais cela suppose aussi que nous renforcions notre système de formation, pour orienter vers les métiers de demain, à la fois des jeunes et des publics en reconversion. Et c’est là, selon nous, qu’il faut accentuer encore les efforts » explique Godefroy de Bentzmann, Président de Syntec Numérique.
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