Ceci fait suite à la mobilisation de Syntec Numérique vendredi 6 février 2015 qui appelait les parlementaires à soutenir la réforme de l'actionnariat salarié

Dans le projet de loi sur la croissance, l’attractivité et l’égalité des chances économiques, l’article 34 prévoit une réforme de la fiscalité des mécanismes d’actionnariat salarié, permettant pour les entreprises en croissance une redistribution à leurs salariés.

La réforme envisagée remet la fiscalité française à un niveau comparable à celui de l’Allemagne et du Royaume-Uni. Ces mécanismes sont particulièrement importants pour les entreprises du numérique, qui peinent à attirer les talents et à la conserver. Il est également une forte incitation à entreprendre en France plutôt qu’ailleurs.
Cette réforme est aujourd’hui mise en danger par un amendement déposé par Karine Berger, Valérie Rabault et Pierre-Alain Muet, qui vise à la suppression pure et simple de l’article 34.

Syntec Numérique appelle les parlementaires à participer à la création d’une France compétitive et attractive et à ne pas voter cet amendement.