Pour les utilisateurs métiers, la révolution du Big Data s’envisage au travers de petites touches qui peuvent faire de vraies différences au quotidien. Habitués à analyser les données, ils ont compris qu’il était possible d’analyser davantage de types de données et de les valoriser de plusieurs façons (en temps réel, de façon prédictive, etc.). En revanche, et quand bien même ils le souhaitent, ils ont des difficultés à exploiter par eux-mêmes ces possibilités.

Les organisations que nous avons interrogées en sont donc à un stade charnière. Pour aller plus loin et tirer profit des projets, elles devront s’atteler à plusieurs chantiers, en particulier :

- Recruter des profils capables de faire le lien entre la donnée et les projets business, en particulier pour la transformation numérique ;

- Mettre en place des rôles et responsabilités transverses (de type CDO, Chief data officer) et repenser leur architecture de données ;

- Elaborer une stratégie de gouvernance de la donnée impliquant le DSI, les métiers, le CDO, etc. et définissant des règles d’accès et de sécurité de la donnée ;

- Préciser les rôles de chacun – en particulier celui du ‘data scientist’ au regard des enjeux métiers.

Le rôle des prestataires sera de les accompagner dans l’évolution de leur organisation interne pour tirer parti du Big Data et ainsi optimiser leur business, voire créer une innovation de rupture sur leur marché.

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