Les points clés à retenir :
Plusieurs points saillants ont émergé des discussions et échanges entre intervenants et participants :
- L’abstraction au cœur du processus : Le NoCode et le LowCode marquent un retour à des niveaux d’abstraction élevés, rappelant les outils des années 90. Cependant, les technologies actuelles offrent des possibilités bien plus avancées, permettant une rapidité et une fluidité accrues dans la création de solutions.
- Rapidité et agilité : Ces outils sont souvent plébiscités pour leur capacité à accélérer le développement. Cependant, ils présentent aussi des limites, notamment lorsque les besoins des utilisateurs évoluent au-delà des fonctionnalités proposées par les plateformes.
- Choix stratégique de la plateforme : Avec la multiplication des acteurs dans ce domaine, le choix de la bonne plateforme est devenu un enjeu crucial. Il est également essentiel de gérer la dépendance technologique qui peut en découler.
- Répondre à la pénurie de développeurs : Alors que la demande en solutions numériques explose, le NoCode et le LowCode répondent à un besoin pressant, celui de combler la pénurie croissante de développeurs qualifiés.
- Des usages adaptés : Chaque technologie doit être sélectionnée en fonction des besoins spécifiques de l’entreprise, qu’il s’agisse d’applications métiers stratégiques ou de solutions temporaires.
Un futur hybride en perspective
Contrairement à ce que certains pourraient penser, le NoCode et le LowCode ne sont pas destinés à remplacer le développement traditionnel. Ces approches représentent plutôt une réponse complémentaire aux besoins croissants en solutions numériques. Le futur semble se dessiner sous une forme hybride, où les technologies classiques et ces nouvelles approches cohabiteront. L’enjeu résidera alors dans l’intégration et la combinaison des forces de chaque technologie.
